Installationd'une PAC air/eau pour une maison dont les déperditions calculées sont de 10kW à une température de base de -5°C,chauffage par plancher chauffant avec une température d'eau de 35°. La PAC devra être capable de restituer à -5°C,80% de ces 10kW en thermodynamique soit 8kW,la puissance totale sera de 120% (maximum) de 10kW

Le chauffage représente le plus gros poste des consommations d’énergie dans l’habitat, comptant pour les deux tiers de la facture énergétique du logement. Pour en savoir plus Fiche Ademe concernant l'individualisation des frais de chauffage Infographie Ademe qui résume en une page le sujet Pour réduire durablement la facture de chauffage et augmenter le confort des logement, des travaux de rénovation énergétique peuvent être entrepris Le cadre règlementaire - Décret n°2019-496 du 22 mai 2019 relatif à la détermination individuelle de la quantité de chaleur, de froid et d'eau chaude sanitaire consommée et à la répartition des frais de chauffage, de refroidissement et d'eau chaude sanitaire, dans les immeubles collectifs à usage d'habitation ou à usage d'habitation et professionnel - Arrêté du 6 septembre 2019 relatif à la détermination individuelle de la quantité de chaleur et de froid et à la répartition des frais de chauffage et de refroidissement, dans les immeubles collectifs à usage d'habitation ou à usage d'habitation et professionnel - Décret n° 2020-886 du 20 juillet 2020 relatif aux modalités d'accès aux informations de consommation et de facturation liées aux consommations de chaleur, de froid et d'eau chaude sanitaire dans les immeubles collectifs dotés de dispositifs d'individualisation des frais de chauffage, de froid ou d'eau chaude sanitaire et dans les immeubles raccordés à un réseau de chaleur ou de froid - Arrêté du 24 juillet 2020 relatif à l'information des occupants sur les consommations de chaleur, de froid et d'eau chaude sanitaire et sur la quantité de chaleur, de froid et d'eau chaude sanitaire consommée, dans les immeubles collectifs à usage d'habitation ou à usage d'habitation et professionnel Limites de températures dans les bâtiments collectifs Pour limiter les consommations énergétiques liées au chauffage des bâtiments, la réglementation prévoit des températures maximales dans les bâtiments résidentiels et tertiaires. Par ailleurs, les systèmes de refroidissement ne doivent fonctionner que lorsque la température intérieure des locaux dépasse 26°C, ce qui permet de limiter les consommations liées aux systèmes de refroidissement. La limitation de la température de chauffage Les articles à du code de l'énergie instaurent l’obligation de limiter la température de chauffage dans les bâtiments. Ainsi, l’article spécifie notamment que dans les locaux à usage d’habitation, d’enseignement, de bureaux ou recevant du public et dans tous autres locaux, à l’exception de ceux qui sont indiqués aux articles et les limites supérieures de température de chauffage sont fixées en moyenne à 19° C pour l’ensemble des pièces d’un logement ; pour l’ensemble des locaux affectés à un usage autre que l’habitation et compris dans un même bâtiment. L'article précise les limites de températures moyennes de chauffage en période d'inoccupation pour les bâtiments cités dans l'article Ces limites sont 16°C lorsque la durée d'inoccupation est égale ou supérieur à24h et inférieure à 48h; 8°C lorsque la durée d'inoccupation est égale ou supérieure à 48h. Pour les locaux où s'exercent des activités à caractère administratif, scientifique, sportif, artisanal, industriel, commercial ou agricole et ne recevant pas du public Les bâtiments indiqués à l'article du code de l'énergie sont les locaux où s'exercent des activités à caractère administratif, scientifique, sportif, artisanal, industriel, commercial ou agricole et ne recevant pas du public. Les limites de températures de chauffage des établissements précités varient selon l'utilisation qui est faite du local. L'arrêté du 25 juillet 1977 relatif à la limitation de la température de chauffage dans ces locaux et les différentes températures limites de chauffage sont disponibles sur le lien suivant Arrêté du 25 juillet 1977. Pour les locaux et établissements sanitaires et hospitaliers et les logements où sont donnés des soins médicaux ou qui logent ou hébergent des personnes âgées ou des enfants en bas âge Les bâtiments indiqués à l'article du code de l'énergie sont les locaux et établissements sanitaires et hospitaliers et les logements où sont donnés des soins médicaux ou qui logent ou hébergent des personnes âgées ou des enfants en bas âge. L'arrêté du 25 juillet 1977 relatif à la limitation de la température de chauffage dans ces locaux impose une limite supérieure de chauffage moyenne à 22°C. La température de chauffage d'une pièce individuelle ne doit quant à elle pas dépasser 24°C. La limitation de l’usage des systèmes de refroidissement Par ailleurs, depuis le 1er juillet 2007, les articles et du code de l'énergie limitent l’utilisation des systèmes de climatisation. Ainsi, l’article spécifie notamment que "dans les locaux dans lesquels est installé un système de refroidissement, celui-ci ne doit être mis ou maintenu en fonctionnement que lorsque la température intérieure des locaux dépasse 26 °C." Ces dispositions ne sont pas applicables dans certains cas particuliers énoncés dans l'article Règlementation thermique dans l'existant La règlementation thermique dans l'existant comporte des dispositions à respecter lorsqu’on rénove un bâtiment. Elle est composée de deux volets rénovation globale d’une part, rénovation éléments par éléments d’autre part. Ce second volet est défini dans l'arrêté du 3 mai 2007 et modifié par l'arrêté du 22 mars 2017, relatif aux caractéristiques thermiques et à la performance énergétique dans l'existant. Il encadre les travaux d'amélioration de l'efficacité énergétique que les particuliers entreprennent dans leur logement et fixe des performances thermiques à respecter lors de travaux d'isolation ou de remplacement d'équipements. Les dispositions qui suivent entrent en vigueur le 1er janvier 2018. Des travaux pour améliorer les équipements de chauffage Les chaudières à gaz ou à fioul Les chaudières étanches ou raccordées à un conduit de fumées, à combustible liquide ou gazeux, dont la puissance thermique nominale est supérieure à 400kW, installées ou remplacées, doivent satisfaire à des rendements de 90,9 en pleine charge et à 30% de charge. Pour les autres chaudières, le règlement UE n°813_2013 définit les rendements saisonniers minimums PAC inférieures à 400kW. Toutes les chaudières vendues respectent les exigences de performance obligatoires. L'étiquette énergie indique les plus performantes. Une chaudière non étanche à coupe-tirage B1 ne peut plus être installée en maison individuelle, ni en logement collectif à conduit individuel de moins de 10m de long. Le circulateur de la chaudière doit être muni d'un dispositif d'arrêt. Les pompes à chaleur PAC La RT éléments prévoit des exigences pour les PAC individuelles dont la puissance thermique nominale est supérieure à 12kW. Pour les PAC non incluses dans la RT éléments, le règlement UE 813_2013 définit les rendements saisonniers minimum des PAC individuelle; le règlement 2016_2281 prévoit quant à lui des exigences pour les appareils de chauffage à air dont la puissance calorifique nominale est inférieure à 1MW dès 2018. Toutes les PAC vendues respectent les exigences de performance obligatoires. L'étiquette énergie indique les plus performantes. Le chauffage au bois La règlementation impose un rendement minimal. Ce rendement est fonction de la puissance de la chaudière installée. Le chauffage électrique En cas de remplacement ou d’installation de radiateurs électriques à action directe du type convecteur, radiant, etc. ou à accumulation, ils doivent être régulés par un dispositif électronique intégré dont la variation temporelle est < 0,6 K ou 1,8 K pour les émetteurs à accumulation ou intégrés, présenter au moins 4 niveaux de fonctionnement confort », réduit», hors-gel » et arrêt », être temporisés s’ils possèdent d’autres fonctions soufflante, sèche-serviettes, etc.. Tout nouvel émetteur sauf ceux à accumulation ou intégrés et ceux ayant une fonction sèche-serviette doit être équipé ou associé à une détection automatique de présence/absence ou à une détection automatique de l’ouverture des fenêtres. Le label "NF performance 3* oeil" satisfait à ces exigences. Les émetteurs à eau chaude Les nouveaux émetteurs hors chauffage au bois doivent comporter un dispositif d’arrêt manuel et de régulation automatique en fonction de la température intérieure s’il n’y en pas déjà par ailleurs ou si c’est techniquement impossible. Des adaptations existent pour les planchers chauffant basse température et pour les chauffages par air insufflé. Le réseau de distribution Si l'installation complète du système de chauffage générateur+émetteur est remplacée, les radiateurs doivent être adaptés au fonctionnement basse température, et le réseau de distribution doit être calorifugé avec une isolation de classe supérieure ou égale à 3. Pour les bâtiments collectifs, il doit également être muni d’un système d’équilibrage en pied de colonne qui doit faire l’objet d’un rapport daté et signé par le professionnel ayant réalisé l’équilibrage. Par ailleurs, en cas d'installation ou de remplacement d'un réseau de distribution de chaleur ou en cas de raccordement à un réseau de chaleur, les tuyaux situés à l'extérieur ou traversant des locaux non chauffés doivent être calorifugés avec une isolation minimum de classe 3. Les équipements de régulation et de programmation Les nouveaux émetteurs hors chauffage au bois doivent comporter un dispositif d’arrêt manuel et de régulation automatique en fonction de la température intérieure. Des adaptations existent pour les planchers chauffant basse température et pour les chauffages par air insufflé. Tout nouveau dispositif de chauffage centralisé doit comporter un dispositif de commande manuelle et de programmation automatique selon au moins 4 allures de fonctionnement confort », réduit», hors-gel » et arrêt ». Pour les systèmes fonctionnant au gaz et au fioul le régulateur doit être au minimum de classe IV. Classe des équipements de régulation Classe I Thermostat d'ambiance marche/arrêt Classe II Régulateur climatique avec compensation, pour une utilisation avec les dispositifs de chauffage modulants Classe III Régulateur climatique avec compensation, pour une utilisation avec les dispositifs de chauffage tout ou rien Classe IV Thermostat d'ambiance PID Proportionnelle Intégrale Dérivée, pour une utilisation avec les dispositifs de chauffage tout ou rien Classe V Thermostat d'ambiance modulant, pour une utilisation avec les dispositifs de chauffage modulants Classe VI Régulation climatique et capteur d'ambiance, pour une utilisation avec les dispositifs de chauffage modulants Classe VII Régulation climatique et capteur d'ambiance, pour une utilisation avec les dispositifs de chauffage tout ou rien Classe VIII Régulateur de température d'ambiance multi capteurs, pour une utilisation avec les dispositifs de chauffage modulants
Lesinconvénients d’une chaudière électrique pour chauffage par plancher chauffant hydraulique. Le principal inconvénient d’une chaudière électrique est son coût annuel d’utilisation, car l’électricité coûte plus cher que le gaz naturel. Ainsi, si la maison est chauffée par une chaudière peu récente n’ayant pas de
La pose de plancher chauffant, pour votre bien-être et votre confort à Louviers L’installation de ce mode de chauffage séduit de plus en plus de ménages désireux de faire des économies d’énergie et de bénéficier d’une température ambiante confortable. Esthétique et peu encombrant, le plancher chauffant fait disparaître les radiateurs et vous offrent une grande liberté d’aménagement. Electrique ou à eau, quel plancher chauffant choisir ? Alimenté à basse température, entre 25 et 30 °C pour éviter une mauvaise circulation sanguine, un plancher électrique ou hydraulique augmente l’efficacité d’une chaudière à gaz ou d’une chaudière au fioul. Voici les différents systèmes de plancher chauffant. Le plancher chauffant électrique Très utilisé en France et notamment en rénovation, le plancher chauffant électrique séduit par son confort thermique. Son installation repose sur un isolant thermique lui conférant une rapidité de chauffe optimale et, s’il n’est pas chauffant, il est compatible avec plusieurs types de revêtement de sol comme le carrelage, la pierre ou le parquet. Le plancher chauffant hydraulique Ce type de chauffage est compatible avec pratiquement tous les systèmes de chauffage comme le chauffage au gaz ou le chauffage au fioul. Ce sol chauffant hydraulique offre une diffusion de chaleur agréable avec un encombrement quasiment nul. De plus, sa grande inertie évite les changements brusques de la température du sol. Un système économique De par sa faible consommation d’énergie, la dalle chauffante est très économique. Grâce à une faible déperdition de chaleur, le besoin de chauffer est inférieur à celui d’un système de chauffage classique et votre facture énergétique est moins élevée. Un gain de place ? Ce plancher rayonnant étant dissimulé dans le sol, vous disposez de plus d’espace pour aménager vos pièces comme vous le souhaitez. Les radiateurs encombrants sont en effet inutiles et vous êtes libre de disposer vos meubles selon vos envies ou de créer une grande ouverture. JV Services, notre savoir-faire à votre service La pose d’un plancher chauffant nécessite plusieurs étapes telles que la mise en place du bloc collecteur, l’isolation du plancher chauffant à eau, la pose des tubes, le raccordement des circuits, le remplissage et le test de mise en pression. Ces étapes demandent un savoir-faire et une expertise pour calculer le dimensionnement de l’équipement et pour assurer la bonne réalisation des travaux. Certifiés Qualibat RGE, nos techniciens chauffagistes vous assurent une installation optimale.
Lachaudière E-9 est une chaudière mobile électrique proposée en location. Elle est dédiée à l’alimentation de tout circuit de chauffages ou de planchers chauffants.
1. Le calcul du budget à prévoir pour ce type de chaudière 2. La spécificité du chauffage par plancher chauffant à basse température 3. Le choix du modèle de chaudière 4. La sélection du fournisseur Le prix d’une chaudière avec une diffusion sur plancher chauffant est intéressant à regarder. Le calcul du budget à prévoir pour ce type de chaudière En principe, les chaudières électriques à basse température pouvant alimenter un réseau de planchers chauffants sont vendues à des prix proches de celles qui alimentent un réseau de radiateurs. Pour l’achat de la chaudière, il faut donc prévoir un budget compris entre 2000 € et 6000 € si elle chauffe l’eau avec une résistance électrique. Cependant, l’investissement global est nettement plus élevé, car il faut tenir compte du coût de l’installation des systèmes de chauffage sous les planchers. Compte tenu des travaux à prévoir, 1 m² de plancher chauffé par des câbles chauffants coûte entre 40 et 50 €. Le prix monte à une moyenne comprise entre 70 € et 100 € par mètre carré si le plancher est chauffé par des tuyaux amenant de l’eau chaude. De plus, il faut prévoir un budget au moins égal à 500 € pour la pose de la chaudière. La spécificité du chauffage par plancher chauffant à basse température Au lieu d’être chauffée par des radiateurs, la maison est chauffée par le sol, ce qui accroît l’homogénéité du chauffage, car on profite de la capacité de l’air chaud à monter vers le plafond. En outre, il est possible de réguler la température de chauffage de chacune des pièces, ce qui permet d’adapter cette température aux températures extérieures et à l’orientation de la pièce. Ainsi, on peut chauffer plus fortement une pièce orientée vers le nord et soumise à une température extérieure basse qu’une pièce bien ensoleillée et profitant d’une température extérieure plus élevée. Par ailleurs, un plancher chauffant peut aussi produire de la fraîcheur en été en étant réversible. L’eau qui circule sous le sol est chauffée à une température comprise entre 20 et 45 degrés. Il en résulte une réduction de la consommation d’électricité, surtout si la chaudière est équipée d’un système de régulation de la température et d’une horloge de programmation. Le système de basse température permet à la chaudière de consommer entre 10 et 15 % d’électricité en moins qu’une chaudière classique. Toutefois, compte tenu de l’importance des travaux qu’il faut effectuer pour installer un plancher chauffant, ce mode de chauffage convient mieux aux personnes qui font bâtir une maison neuve. Dans ce cas, l’installation d’un chauffage par plancher chauffant peut valoriser la maison, ce qui facilite sa future revente. Le choix du modèle de chaudière Comme c’est le cas pour une chaudière devant alimenter un réseau de radiateurs, il faut commencer par prendre en compte la puissance exigée pour que le chauffage de la maison soit suffisant. Cette puissance se calcule notamment en fonction du volume de chaque pièce ainsi que de la différence nécessaire entre la température de la maison et les températures extérieures les plus froides en hiver. Il faut également prendre en compte des coefficients spécifiques et notamment un coefficient qui dépend de la qualité de l’isolation de la maison. Cette isolation doit être renforcée si elle est trop faible. Par ailleurs, le propriétaire du logement doit éviter de chercher à faire une économie en choisissant une chaudière dont la puissance est inférieure à celle qu’exige le chauffage de la maison. Un tel choix risque en effet de se traduire par une insuffisance de confort si les températures extérieures sont proches de zéro. On peut donc être obligé d’installer des radiateurs d’appoint. Ensuite, il faut comparer les modèles de chaudière dont la puissance convient et s’efforcer de prévoir la dépense annuelle d’électricité que chacune d’elles pourrait entraîner. En principe, si la maison est correctement isolée, cette dépense s’élève en moyenne à 2000 € pour une surface habitable de 100 m². Cependant, elle peut être réduite à zéro si la maison est chauffée avec des panneaux solaires. Le fournisseur d’électricité peut aider à faire ce calcul et à évaluer les économies qui résulteront du choix d’une chaudière électrique à basse température ainsi que de la mise en place des équipements capables de réduire sa consommation. Enfin, les dimensions de la chaudière doivent lui permettre d’être mise en place dans l’espace où son installation est prévue. Les chaudières électriques murales peuvent cependant être posées par exemple dans le placard d’une cuisine ou d’une salle de bains, car leur volume n’est pas très important. La sélection du fournisseur Après avoir choisi la chaudière électrique à basse température qui conviendra le mieux, il faut rechercher un fournisseur à même de fournir cette chaudière et de l’installer. Le professionnel choisi doit avoir le statut de garant de l’environnement qui atteste sa capacité à faire une installation totalement conforme aux normes.
Enoutre, parmi notre sélection de chaudières, certaines sont compatibles avec des planchers chauffants basse température, pour un confort optimisé. Un très bon chauffage complémentaire pour l’hiver. En solution d'appoint, la chaudière électrique peut être secondée par une pompe à chaleur. Pour plus de confort, la régulation
Pour adapter son confort thermique et réaliser des économies d'énergie, il existe différentes solutions plus ou moins performantes, que l'on nomme régulation de chauffage ». C'est un dispositif des plus importants sur une installation de chauffage, qui doit être choisi avec soin notamment en fonction du type de générateur et de son habitat, chaque degré supplémentaire au-dessus de 19°C engendrant 7% de plus sur la facture énergétique ! La régulation, c'est le cerveau » ou le tableau de bord de l'installation de chauffage. Elle gère tous les organes électriques ou de combustion de l'installation pour garantir dans l'ensemble du bâtiment, selon les habitudes et les besoins de l'utilisateur, le confort de chaleur demandé, en permettant d'économiser le combustible et de l'électricité. Par exemple, elle agit sur le brûleur de la chaudière pour faire varier sa puissance et optimiser ses performances rendement, sur les pompes de circulation de l'eau chaude dans votre circuit de chauffage ou pour l'eau chaude sanitaire. Elle fait ainsi intervenir les composants de votre installation au moment opportun pour réaliser le maximum d'économies d'énergie. Certaines régulations modernes calculent même la température juste nécessaire de la chaudière ou température d'eau de départ à partir de la température extérieure pour éviter de chauffer de l'eau inutilement. On retrouve principalement 4 types de régulations, utilisés seuls ou de manière combinée le simple aquastat l'utilisateur règle la température de l'eau circulant dans le réseau de chauffage directement sur le générateur de chaleur pour obtenir une température d'air. le thermostat d'ambiance il permet de maintenir une température ambiante constante selon une température de consigne choisie, le générateur adaptant son fonctionnement suivant les ordres qu'elle reçoit du thermostat ; il peut être mécanique ou électronique, programmable ou non, disposer d'un pilotage à distance thermostat dit connecté » avec un fonctionnement tout ou rien », modulant » ou PID », monozone ou multizone. la régulation en fonction de la température extérieure en complément ou non d'un thermostat d'ambiance, elle complète le système de chauffage en mesurant la température extérieure afin de prendre en compte les variations météorologiques et permettre au générateur telle une chaudière ou une pompe à chaleur réagir avant que le logement n'ait eu le temps de se refroidir. le robinet ou vanne thermostatique fixé sur les radiateurs il permet d'ajuster la température pièce par pièce en fonction de l'usage chambre, séjour … et de valoriser les apports de chaleur gratuits dans le logement ; il peut être mécanique ou électronique et être alors programmable ou piloté à distance. Une régulation peut être monozone la température sera théoriquement » la même dans le logement sans distinction de pièces ; en pratique cette solution permet d'avoir la température que vous souhaitez dans la pièce où se trouve le thermostat ; pour les autres pièces vous aurez un delta de température allant de ±0,5°C à ±2°C en fonction de la superficie du logement et de l'exposition / isolation de chaque pièce. multizone cette régulation permet de piloter la température pièce par pièce ; des sondes de températures ou robinets thermostatiques programmables sont placées dans chacune des pièces dont l'utilisateur souhaite maîtriser la température et un retour d'information peut être fait à une régulation centralisée ; dès qu'une température descend sous la consigne, l'ordre est donné à la chaudière de s'allumer. Thermostat d'ambiance tout ou rien » Solution la plus basique, elle est aujourd'hui plutôt adaptée par exemple aux chaudières basse température », ou pour des logements à un seul niveau équipés de radiateurs. C'est à minima la régulation que l'on devrait retrouver ce n'est malheureusement pas toujours le cas sur toutes les installations même entrée de gamme » ou chantier » ! Le thermostat d'ambiance peut être raccordé au générateur par fil ou par une liaison radio lorsque le passage d'un câble n'est pas possible ou difficile. Le thermostat d'ambiance tout ou rien » contrôle la température ambiante par déclenchement / arrêt de la chaudière/générateur en fonction d'une température de consigne réglée par l'utilisateur si la température dans la pièce où se trouve le thermostat descend en dessous de celle programmée, le système de chauffage va se mettre en route. Quand la température sera atteinte, il coupera le chauffage. D'où le terme Tout ou Rien » ToR ou On/Off ». Ce système n'est pas optimal tant en terme de confort, que d'économie d'énergie, notamment avec une chaudière à condensation lorsque la température dans la pièce équipée du thermostat sera atteinte souvent la pièce de vie, la circulation de l'eau chaude dans les émetteurs sera stoppée, et ce, même si les autres pièces n'ont pas encore atteint la même température de confort ! Ce phénomène est encore aggravé si la pièce de vie dispose d'une cheminée ou de grandes baies vitrées recevant des apports solaires gratuits. de l'inconfort et des bruits de dilatation peuvent aussi être ressentis à cause de montées et de descentes en températures sans cesse des émetteurs tout ou rien » ! recevant de l'eau très chaude par à-coups. sur des distributions de chauffage monotube », certains radiateurs n'ont jamais le temps de chauffer complètement, le thermostat s'étant déjà déclenché. suivant la précision et la réactivité du thermostat, au lieu des 20°C demandés, la température intérieure va plutôt varier de 18 à 22°C ! la température d'eau de chauffage reste fixe tout au long de la période de chauffe, réglée à un maximum afin de permettre de lutter à tout moment contre les déperditions maximales du logement qui arrivent lors de températures extérieures extrêmes c'est donc une chauffe et un maintien en température inutiles gaspillage d'énergie, amoindrissement de la durée de vie de la chaudière, démarrages fréquents car les températures extrêmes n'arrivent que très rarement dans un hiver. c'est enfin un risque de ne jamais ou très peu condenser avec une chaudière à condensation alimentant des radiateurs, le retour d'eau de chauffage restant lui aussi à une température élevée. Cependant, si l'installation n'en possède pas, un thermostat d'ambiance bien placé à environ 1,50 m du sol, loin d'une source de chaleur - cheminée, radiateur, télévision, etc … -, à l'abri des courants d'air et du soleil direct et bien programmé peut déjà vous permettre de réduire votre facture de chauffage de 10 à 20%. Vous consommerez jusqu'à 10% de moins avec un thermostat simple qui commande le chauffage en fonction d'une température choisie et jusqu'à 20% de moins avec un thermostat programmable à horloge programmateur d'intermittence qui réduit la température la nuit ou en cas d'absence. Le classement ERP de ce type de régulation est de Classe 1 » ou Classe 3 » en version électronique couplé avec sonde extérieure. Thermostat d'ambiance modulant et PID » Au contraire de leurs homologues tout ou rien », les thermostats d'ambiance modulants » permettent d'ajuster en permanence la température de l'eau circulant dans le réseau de chauffage afin d'être toujours au plus près de la température de confort désirée c'est une régulation auto-adaptative qui se rapproche » du fonctionnement d'une régulation sur température extérieure, sans en être bien sûr aussi performante. Plus de marche/arrêt incessants de la chaudière, celle-ci module et offre ainsi une température intérieure parfaitement stable. On ne monte et maintient plus inutilement en température l'eau de chauffage, à une température qui ne servira peut-être jamais dans une période de chauffe pour une chaudière à condensation, c'est aussi la certitude de pouvoir commencer à condenser même avec des émetteurs haute température ». La modulation peut soit s'exercer sur le brûleur pour les chaudières en étant capable ou bien par enclenchement/arrêt de la circulation d'eau pour les chaudières ne pouvant moduler leur température d'eau, de manière haché » dans le temps, permettant d'envoyer dans l'installation une sorte d'eau chaude mitigée trains de circulation d'eau chaude plus ou moins rapprochés. Ce sont des thermostats d'ambiance chrono-proportionnel. On peut aussi trouver des thermostats numériques intégrant une régulation PI » ou PID » Proportionnelle - Intégrale - Dérivée. Ce modèle de thermostat PID, plus cher, apprend comment l'installation réagi à ses commandes et permet une régulation plus précise, qui anticipe l'atteinte de la température de consigne en fonction de l'évolution de la température ambiante au cours des dernières heures. La régulation PI calcule régulièrement la durée de marche et d'arrêt du chauffage, proportionnellement à la différence entre la température mesurée et la température de consigne. La température souhaitée est ainsi rapidement atteinte, avec précision et sans variations brusques, afin d'éviter une surconsommation. Le chauffage peut aussi ne pas démarrer alors que la température ambiante est inférieure à la consigne, le thermostat estimant que la température sera atteinte sans apport d'énergie supplémentaire. Il fait également en sorte que la température soit très stable par exemple, en réduisant les dépassements à la fin du cycle de chauffage, de sorte que le niveau de confort est accru. Par exemple, si l'on souhaite que la température ambiante soit de 21°C à 07h du matin, un thermostat programmable de base » va tout simplement s'enclencher à 07h pile pour atteindre progressivement les 21°C. Le contrôleur PID va quant à lui décider à quel moment le thermostat doit activer le système afin d'atteindre la température voulue au moment voulu anticipation, en se rappelant simplement le comportement passé et la température actuelle de la pièce. On peut encore gagner jusqu'à 10% sur l'efficacité énergétique du chauffage avec ce type de thermostat. Le classement ERP de ce type de régulation est de Classe 4 ». En savoir + Comment optimiser la condensation d'une chaudière gaz, fioul, ou bois Thermostat d'ambiance PID Multizones programmable Ce type thermostat possède généralement les mêmes caractéristiques qu'un thermostat programmable PID standard », sauf qu'il récupère aussi la température de chaque pièce afin de mieux la réguler. Il est donc nécessaire de le coupler avec des robinets thermostatiques électroniques programmables installés dans chaque pièce voir ci-dessous. Avec un réglage de la température d'ambiance pièce par pièce, la sensation de chauffe est immédiate et l'utilisateur peut encore mieux maîtriser ses dépenses énergétiques. Cette solution peut être aussi pilotée à distance via une connexion internet. Le classement ERP de ce type de régulation est de Classe 8 ». Thermostat connecté Il est basé sur un thermostat électronique avec pilotage ON/OFF ou modulant en utilisant généralement un protocole propriétaire fabricant ou le protocole Opentherm. La différence se trouve au niveau de la surcouche logicielle qui permet l'implémentation de nombreuses fonctionnalités ainsi que le pilotage à distance de son générateur de chauffage. Un thermostat connecté disposent de différentes fonctionnalités supplémentaires par rapport à un thermostat d'ambiance classique Contrôle à distance c'est la fonction principale des thermostats connectés ; à l'aide par exemple de son Smartphone, l'utilisateur va contrôler les différentes fonctions de son thermostat en local chez lui via une connexion Wifi ou à distance et ceci depuis n'importe quel endroit du monde via une connexion internet ; cette fonction est intéressante lors par exemple d'un voyage, l'utilisateur pourra éteindre son système de chauffage à distance et donc faire des économies d'énergie. Apprentissage des habitudes un algorithme va intégrer au fur et à mesure du temps l'ensemble des requêtes que l'utilisateur va donner au thermostat comme l'augmentation ou la diminution de température en local ou via l'application Smartphone ou le réglage des plages de chauffe ; couplé à un détecteur de présence, le thermostat intègre le fait que l'utilisateur est rentré plus tôt chez lui et déclenche le chauffage si ce phénomène se répète de nombreuse fois dans le mois alors le thermostat va modifier le planning de chauffe pour que la température de confort soit atteinte lorsque l'utilisateur rentre chez lui ; ce mode demande bien sur quelques jours d'apprentissage. Intégration de la température extérieure le fait de prendre la température extérieure permet d'anticiper les pertes thermiques du logement et donc d'optimiser le confort dans le logement ; la température externe peut être acquise par soit l'installation d'une sonde extérieure à environ 2m de hauteur sur la face nord ou nord-ouest en liaison directe avec le thermostat, ou soit depuis internet avec la température d'une station météo la plus proche du logement. Programmation Calendaire l'utilisateur peut programmer différentes plages avec des niveaux de températures eux aussi différents ; cette programmation permet une gestion très fine des plages de chauffe en optimisant au mieux les moments où l'utilisateur est dans son logement à fin de faire des économies d' thermique un algorithme permet de déterminer les pertes thermiques du bâtiment par itération qui de calculer le temps nécessaire entre le passage du mode Eco au mode confort et inversement pour atteindre la "bonne" température ambiante, permettant de piloter la relance optimisée. Relance optimisée l'intelligence du thermostat intègre la température extérieure, la programmation calendaire et l'inertie thermique pour déterminer le temps nécessaire pour atteindre la température souhaitée; l'utilisateur aura sa température de consigne au moment exact de sa programmation ex 20°C à 06h00 lors de son réveille. Géo localisation cette fonction remplace la programmation calendaire et il n'y a plus besoin de déterminer les plages de chauffe ainsi que les différentes températures ; il suffit d'indiquer la température de confort souhaitée, de coupler le thermostat au Smartphone de l'utilisateur ; en utilisant la puce GPS intégrée à ce dernier, le thermostat connait en permanence la distance entre l'utilisateur et son logement ; l'utilisateur détermine une distance autour de son domicile et lorsqu'il entrera dans cette zone géographique, le thermostat donnera l'ordre à la chaudière de démarrer et par conséquent d'avoir la température de confort souhaitée. Le classement ERP de ce type de régulation peut être soit de Classe 4 », ou de Classe 6 » avec intégration de la température extérieure, ou enfin de Classe 7 » si intégration de la température extérieure + sortie modulante. En savoir + Découvrez notre guide spécial thermostat connecté » Régulation sur sonde extérieure C'est le système le plus performant et surtout le plus intelligent » thermiquement parlant ! Une sonde de température placée idéalement sur une paroi du bâtiment exposée au nord pour éviter qu'elle ne soit réchauffée par le rayonnement solaire mesure constamment la température de l'air extérieur, anticipe les variations climatiques, et module en conséquence la température de l'eau du réseau de chauffage en fonction des variations météorologiques, en prévenant aussi les changements brusques de température extérieure. Cette modulation se fait par action sur le brûleur pour une chaudière qui en est capable ou sur une vanne mélangeuse. Ainsi, le générateur de chaleur réagit avant que le logement n'ait eu le temps de se refroidir. Ce système convient bien aux maisons et bâtiments à un ou plusieurs niveaux, avec une grande surface au sol. Il est d'ailleurs plus que recommandé pour un plancher chauffant ou une installation à plusieurs circuits, et primordiale pour optimiser au maximum le fonctionnement d'une chaudière à condensation. Une sonde extérieure va donc adapter automatiquement la température de l'eau entrant dans le ou les circuits de chauffage en fonction des conditions climatiques extérieures par exemple, en hiver, lors de températures extrêmes, sur des radiateurs traditionnels, la température de l'eau sera plus chaude de l'ordre de 70°C, alors qu'en demi-saison, elle pourra être bien plus basse de l'ordre de 35°C. Ce système réduit ainsi fortement les pertes et augmente le rendement de la chaudière, notamment à condensation, qui pourra condenser pratiquement en permanence avec une eau de retour de chauffage optimale, c'est-à-dire en dessous du point de rosée du combustible à nouveau les températures extrêmes sont rares et ne représentent seulement que quelques jours sur les 230 jours de chauffage ! La sonde extérieur vous permet d'être certain de chauffer l'eau à sa plus juste valeur basées sur les conditions climatiques réelles, afin d'être sure de condenser au maximum, notamment avec une installation sur radiateurs. Car un thermostat intérieur, même modulant, ne module la température de l'eau que sur des mesures temporelles d'élévation/diminution de température intérieure. Pour simplifier est-ce qu'avec une eau à 40°C, la température intérieure s'élève jusqu'à la consigne demandée / au bout de combien de temps ? Si non, c'est que la température extérieure baisse. Il demande alors à la chaudière une eau à une température de 45°C, et revérifie. Si la température se stabilise, c'est la bonne température. Et ainsi de suite … Par moment donc, avec beaucoup moins de réactivité et d'oscillation autour de la température optimale d'eau, on chauffe l'eau à une température plus que nécessaire donc plus d'énergie, retour de chauffage plus chaud, moins de condensation. Avec une sonde extérieure, s'il fait -10°C extérieur à 6h du matin, la courbe de chauffe réglée pour les émetteurs et les déperditions propres du logement indiquera à la chaudière d'envoyer par exemple une eau à 70°C pour obtenir 20°C intérieur. Et peut-être qu'à midi, il fera alors que -3°C, la régulation demandant à la chaudière de n'envoyer que de l'eau à 55°C pour toujours obtenir une température ambiante de 20°C … cette variation de température d'eau s'effectuant progressivement et en continu. Ce système est donc le plus performant mais aussi le plus difficile » à régler. Car il va dépendre de l'isolation du bâtiment, du dimensionnement des radiateurs, du confort souhaité, des apports gratuits potentiels … Le rapport entre la température extérieure et la température de départ est représenté par une courbe caractéristique de chauffage, appelée loi d'eau » ou courbe de chauffe ». Pour simplifier, plus la température extérieure est basse, plus la température de départ doit être élevée. Cette courbe doit être réglée sur le générateur. En savoir + Réglage et optimisation d'une courbe de chauffe Le fonctionnement d'une régulation sur température extérieure peut être affiné à l'aide d'une correction d'ambiance qui prend en compte les apports gratuits de chaleur dans le logement. La sonde extérieure est alors associée à un thermostat d'ambiance dénommé plus généralement sonde d'ambiance / commande déportée et des vannes thermostatiques sur les radiateurs pour prendre en compte les apports gratuits ensoleillement, cheminée, chaleur humaine non mesurés par la sonde à l'extérieur. Ainsi, imaginons qu'il fasse -10°C extérieur, mais qu'un soleil d'hiver réchauffe le logement par de larges baies vitrées. La température intérieure va augmenter et dépasser la consigne, avec un risque de surchauffe intérieur et d'inconfort, la sonde extérieure continuant de demander à la chaudière de chauffer car pour elle, il fait -10°C ! Mais avec une sonde de compensation intérieure, la chaudière va être informée que malgré les -10°C extérieur, la consigne intérieure est déjà atteinte et que la chaudière doit ralentir. A l'inverse, cette configuration permet aussi en présence de contraintes techniques de positionner exceptionnellement la sonde extérieur sur un mur extérieur non au nord tout en essayant d'éviter quand même le mur sud en effet, sur un mur est ou ouest, il y a déjà peu de chance en hiver que le soleil très rasant réchauffe la sonde extérieure, et dans tous les cas, la sonde intérieure corrigera automatique l'information erronée de température de la sonde extérieure. Le classement ERP de ce type de régulation peut être soit de Classe 3 » déclenchement ToR ou de Classe 2 » modulation, ou voir de Classe 6 » avec l'intégration d'une correction par un capteur d'ambiance. Les vannes thermostatiques Les vannes thermostatiques permettent d'ajuster la température pièce par pièce en fonction de l'usage chambre, séjour… et de valoriser les apports de chaleur gratuits. Une vanne thermostatique ajuste le débit d'eau chaude qui circule dans le radiateur pour atteindre la température voulue dans la pièce où elle se trouve si la température de consigne n'est pas atteinte, la vanne s'ouvre pour laisser passer plus d'eau chaude ; si la température est dépassée, elle se ferme. Mais il ne fait pas confondre une vanne thermostatique avec un thermostat d'ambiance elle ne commande pas le générateur de chauffage mais l'émetteur de chaleur radiateur ! Si le chauffage n'est pas en fonctionnement, la vanne n'aura aucun effet. De même, il ne sert à rien de bouger la position de la vanne quand vous avez trop chaud ou trop froid si la pièce est plus froide que la température indiquée sur la vanne, la vanne est déjà grande ouverte. Il faut laisser le temps à l'eau chaude d'arriver dans le radiateur, ou vérifier la régulation centrale le chauffage est-il en fonctionnement, la température de l'eau est-elle correcte, le thermostat est-il bien réglé ... ? s'il fait trop chaud dans la pièce, diminuer la position de la vanne ne sert pas plus si la consigne est dépassée, la vanne est déjà fermée et le débit d'eau chaude est arrêté. Il faut attendre que le radiateur refroidisse. Avec des robinetteries thermostatiques en bon état il faut ainsi veiller à les changer régulièrement, tous les 5 à 10 ans environ, vous pouvez ainsi réduire votre facture de chauffage de 5 à 10%. Les vannes thermostatiques doivent mesurer une température représentative de la température réelle du local. La tête de la vanne, comprenant l'élément de prise de température, ne doit donc pas être perturbée. Il faut donc éviter de les placer dans les coins de murs devant une fenêtre ensoleillée en position verticale, car la chaleur du tuyau perturbera leur bon fonctionnement cachées derrière une tenture coincée dans une tablette ou un cache décoratif encombrée par des objets divers Si les conditions adéquates ne sont pas réunies, il sera nécessaire d'utiliser des vannes thermostatiques avec sonde de température déportée. Pour un bon fonctionnement, les vannes thermostatiques ne doivent pas être installés ou du moins utilisées dans la pièce où se situe le thermostat/sonde d'ambiance, ou alors elles doivent être grandes ouvertes en permanence pour ne pas être en conflit avec lui au risque de faire tourner la chaudière ou le circulateur inutilement En dehors de la saison de chauffe, il faut veiller à ouvrir les vannes thermostatiques au maximum. La vanne thermostatique ajuste en effet le débit d'eau chaude dans le radiateur au moyen d'une pièce pointeau qui se déplace en fonction de la température atteinte dans le local. En position fermée, la pièce risque de rester bloquée/grippée quand la vanne sera ouverte à nouveau. Par contre en position ouverte, le pointeau se débloquera automatiquement quand la vanne sera manœuvrée pour être réglée. Les têtes thermostatiques classique » peuvent aussi aujourd'hui être facilement remplacée par des têtes thermostatiques électroniques programmables. L'électronique leur amène alors une plus grande précision en termes de réglage de par un affichage digitale de la température désirée. Il est aussi possible de les programmer tel un thermostat d'ambiance programmable différents programmes peuvent abaisser la température durant la nuit, pendant les vacances ou seulement durant certaines heures de certains jours ceci est par exemple utile pour éviter d'avoir sans arrêt à manipuler la vanne pour une chambre d'enfant qui peut être occupée et donc chauffée en fin de journée du lundi au vendredi, et toute la journée le weekend ! Enfin certaines vannes thermostatiques électroniques peuvent être aussi pilotées/gérées par une commande centrale qui leur envoie un signal radio, amenant aussi un pilotage possible de ces vannes de radiateurs directement à distance depuis son smartphone.. En savoir + les robinets thermostatiques de radiateurs EN RÉSUMÉ Quelle est la régulation idéale tant en terme d'économie d'énergie que de confort ? Avec un générateur ancien ou une chaudière basse température thermostat d'ambiance modulant si générateur sait en tirer parti + vannes thermostatiques si radiateurs. Avec un générateur récent pompe à chaleur, chaudière à condensation régulation sur température extérieure + sonde d'ambiance optionnelle fortement recommandée avec du plancher chauffant et des risques d'apports gratuits + vannes thermostatiques si radiateurs.
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Le chauffage au sol est un bon mode de diffusion de chaleur, il apporte une température homogène dans toute la pièce. Il est également apprécié pour sa discrétion, libérant ainsi les sols et les murs et fini les traces noires sur les murs et les plafonds. A l’aide d’un réseau de tubes hydrauliques ou de câbles électriques chauffants, ce système de chauffage vous garantit le confort et un chauffage de qualité dans votre maison. Ce système de chauffage doit être installé à la construction de votre maison. Si la maison est déjà bâtie, il nécessite des travaux de rénovation. réseau de chauffage au sol Deux types de chauffage au sol existent chauffage au sol électrique et chauffage au sol à l’eau. Le chauffage au sol électrique Il recouvre toute la surface du sol à chauffer, il est constitué d’un câble raccordé au secteur. Grâce au rayonnement de la chaleur qui réchauffe les sols, les murs, etc. La chaleur est homogène ce qui permet un meilleur confort. Son installation est plus simple qu’un chauffage sol à l’eau. Il existe deux types de chauffage électrique le plancher chauffant par rayonnement et le plancher chauffant par accumulation. Pour un climat moins aride et pour une installation rapide, facile et économique le plancher chauffant par rayonnement est ce qu’il vous faut. Les câbles chauffent et la chaleur est transmise à la dalle qui émet par rayonnement Pour un froid dur et pour des économies d’énérgie, le plancher chauffant par accumulation est conseillé. Le sol stocke la chaleur la nuit, pendant les heures creuses et la restitue le jour. Le chauffage au sol à l’eau Il fonctionne comme les autres systèmes de chauffage centraux. Il est composé de tubes recouvrant le sol de votre habitat et constituent un circuit fermés où circule l’eau chaude. La pose des tubes en boucle nécessite plus de travaux que la pose d’un câble électrique. C’est un investissement important. A l’usage, il se révèle plus économique et apporte un confort de chaleur plus apprécié. Il existe également des plancher chauffant rafraîchissant. Lorsque la chaleur arrive, de l’eau fraîche circule dans les tubes et ainsi votre logement est rafraîchit. Quel est l’appareil de chauffe approprié pour le chauffage au sol ? Il existe 3 types de sources pour alimenter un plancher chauffant à eau les chaudières à gaz, à fioul ou à bois, les pompes à chaleur air-air, air-eau, eau-eau ou sol-eau ou bien le solaire thermique ou photovoltaïque. Néanmoins, avec ces 3 types de source d’alimentation, des règles très strictes de fonctionnement et de régulation sont imposées aux planchers chauffants la température du fluide circulant dans le réseau de chauffage doit être inférieure à 50 °C et la surface du plancher limitée à 28 °C. Il doit donc obligatoirement fonctionner à basse température. Alimenter le plancher chauffant avec une chaudière Les solutions possibles pour alimenter le plancher chauffant chaudière à condensation, la cogénération ou à bois. La chaudière à condensation utilise la chaleur contenue dans la fumée, elle récupère la vapeur d’eau émise lors de la combustion du gaz, fioul ou de la biomasse. Cette technique de chauffage, avec un rendement très élevé, est économique puisqu’elle permet de réduire votre consommation de gaz et vous bénéficiez du crédit d’impôt lors de l’installation, elle est aussi connue pour être une des solutions les moins polluantes car elle permet une basse consommation. L’autre solution proposée est la cogénération produire de la chaleur et de l’électricité en même temps. A partir d’une même énergie primaire la chaudière à cogénération récupère une partie des calories pour alimenter votre plancher chauffant, et l’autre partie, grâce à des alternateurs, est transformée en électricité qui peut être réutilisée dans votre logement ou vendue au réseau. Cette solution propose différents avantages sur le plan économique mais aussi environnemental elle permet la diminution de rejet de gaz à effet de serre, vous gagnez un peu une indépendance énergétique en produisant vous-même une partie de votre électricité, vous réalisez des économies d’énergie et vous bénéficier d’aides fiscales comme le crédit d’impôt. La chaudière à bois reste aussi une solution envisageable pour alimenter votre plancher chauffant vu ses avantages économiques et écologiques. Le bois est le combustible le moins cher et un arbre entre le temps où il a été planté et celui où il a été brûlé, capte plus de CO2 que ce qu’il en libère. Alimenter le plancher chauffant avec une PAC pompe à chaleur. Toutes les pompes à chaleur ne sont pas adaptées pour alimenter un plancher chauffant. La pompe à chaleur air-air ne permet de chauffer que l’air, elle donc incompatible avec ce genre d’installation. Le plancher chauffant ne peut être alimenté que par les PAC air-eau, eau-eau ou sol-eau. Besoin d’un devis pour votre futur plancher chauffant ?Mon chauffagiste privé intervient sur toute la France, nos techniciens salariés vous établissent un devis gratuit à votre domicilePRENDRE RDV 2018-06-28T092345+0000
Lesradiateurs à basse température sont les modèles les plus recommandés. Ils conviennent à tous types de pompes à chaleur qu’ils soient géothermique, à air, à eau ou qu’ils soient associés à un plancher chauffant. . Vous trouverez des radiateurs à basse température en acier, en fonte, mais aussi en aluminium.
Principe de fonctionnement du Chauffage solaire Le chauffage solaire fonctionne sur le même principe que les chauffe-eau solaires la récupération de la chaleur des panneaux solaires thermiques est réalisée par un groupe de transfert ou station solaire pilotée par une régulation. le réseau primaire dans lequel circule le fluide caloporteur souvent du glycol, antigel est généralement plus dimensionné que celui d'un chauffe-eau solaire car il doit transporter plus d'énergie donc avoir un débit plus important, l'inox ondulé ou annelé pré-isolé en monotube ou bitube tend à remplacer le cuivre pour ce type de réseau il est moins cher et plus facile à mettre en oeuvre, en particulier grâce à des raccords rapides ne nécessitant aucun outillage particulier. L'énergie est généralement stockée dans un ballon tampon, dont le volume est fonction de la surface à chauffer et de la surface de panneaux, entre autres la dimension des portes peut aussi jouer.... Il en existe de plusieurs types ballons tampon simples si vous ne souhaitez pas faire d'eau chaude solaire, ou alors la faire dans un ballon solaire séparé, ballons combinés, dans lesquels on prépare aussi bien l'eau sanitaire que l'eau de chauffage ils peuvent être au choix 'tank in tank' un ballon d'eau sanitaire baigne 'au bain marie' dans le ballon d'eau de chauffage. ballons à eau chaude instantanée, aussi dits hygiéniques l'eau sanitaire passe dans un échangeur en serpentin, en acier inoxydable, qui traverse le ballon de bas en haut. Elle est ainsi chauffée en fonction du besoin. l'un comme l'autre peuvent être à stratification, c'est à dire que l'on installe dans la cuve des accessoires pour limiter au maximum le mélange de l'eau chaude et de l'eau tiède voire froide, en retour de plancher chauffant par exemple. Pour avoir une idée du dimensionnement, vous pouvez vous rendre en bas de la page. Comme vous le constatez, il existe de nombreuses possibilités. Il y a de quoi se perdre dans le choix des éléments, un chauffage est un peu plus compliqué à concevoir qu'un chauffe-eau solaire. Si vous avez un projet, n'hésitez pas à nous appeler - de préférence en deuxième partie d'après-midi -. En 1 heure à 1heure 1/2, on pourra faire le tour des solutions, choisir celle qui conviendrait le mieux à votre projet, et généralement vous fournir un devis détaillé du matériel sous 24 à 48 heures. Pratique du chauffage solaire Comme pour les chauffe-eau, il faut obligatoirement -sauf cette fois en maison passive- disposer d'un appoint qui fournira l'énergie dont vous avez besoin les jours sans soleil sauf à disposer d'une réserve de stockage très importante, ce qui est rare car assez onéreux. Ce peut être une chaudière, une PAC, un poêle ou un fourneau bouilleur, voire même dans certains cas de maison BBC quasi-passive sur ce sujet, voir plus bas, dans lesquels on ne sait pas s'il faudra ou pas un appoint, une simple résistance chauffante au cas où un peu comme une assurance, elle est prévue pour ne pas servir, sauf en cas d'accident panne du système de chauffage, tour de reins et plus de bois.... Pour être efficace, nous recommandons d'installer un chauffage solaire sur des systèmes de plancher chauffant basse température, alternativement avec un mur chauffant en effet, le besoin de chauffage se faisant dans les périodes les moins ensoleillées et les plus froides, il est plus efficace de faire travailler les panneaux à basse température, donc en réchauffant un plancher ou un mur à moins de 30° au lieu de réchauffer un radiateur à plus de 40°. Néanmoins, certains de nos clients ont monté des chauffages sur des radiateurs basse température, ils sont a priori satisfaits, mais nous n'avons pas de retour chiffré du résultat obtenu. Un exemple ? Sur mon installation, en fonction depuis 2005 et progressivement modifiée 17m² de panneaux, un ballon sanitaire de 500 l et un ballon tampon de 1000l, hier 28 Janvier 2018, belle journée ensoleillée, la température du ballon d'eau sanitaire est monté de 15° à 53° en partie basse et le ballon tampon -sans puisage- de 20 à 39°. J'étais le 23 Décembre par une journée ensoleillée mais froide à 38° dans le ballon sanitaire et 35° dans le ballon tampon. Pour mémoire, le 21 Décembre, c'est le solstice d'hiver... Données incomplètes car je n'ai pas noté les températures en haut des différents ballons, qui influent sur ce que l'on peut atteindre en bas, mais la tendance est là. Et les radiateurs se mettent à fonctionner par thermosiphon dès que le ballon tampon monte en température, ce qui est particulièrement agréable dans la salle de bain. Dans une installation existante, le plus simple est de se brancher, comme sur le schéma ci-dessus, en économiseur ainsi, on n'intervient pas sur la régulation de l'existant, ce qui simplifie énormément l'intégration du système. Le principe de l'économiseur est simple dans le schéma précédent, si l'eau qui revient du plancher est plus froide que celle du ballon, on passe dans le ballon tampon, sinon on retourne directement au système de chauffage. Ainsi, on minimise l'énergie à fournir par la PAC. Les incontournables du chauffage solaire Le besoin de chauffage se faisant sentir l'hiver, quand le soleil est bas dans le ciel, il est important que les panneaux soient inclinés suffisamment, 50° semblant un minimum, et jusqu'à 60° voire 70°. Si votre toit à une faible pente, il est très vivement conseillé d'envisager une pose au sol, le long d'un mur ou en jardin. Si c'est impossible, nous vous recommandons de rester sur une solution de chauffe-eau solaire, qui sera efficace car utilisée toute l'année. D'où les supports sol que nous avons fait développer spécialement pour cette utilisation, et qui ne se rencontrent avec de tels angles que chez nous apparemment. On peut aussi s'appuyer sur un mur, ou créer un appenti, abri de jardin, avec la bonne pente et la bonne orientation plein sud. Une forte inclinaison permet non seulement d'optimiser la collecte d'énergie l'hiver mais aussi de réduire les surchauffes d'été. Concernant les surchauffes, leur principal impact, sur une installation en circulation forcée classique non auto-vidangeable, est de contribuer au vieillissement du glycol si vous disposez de panneaux à revêtement sélectif, dont la température de stagnation est de l'ordre de 200° référez-vous à la page concernant le glycol, rubrique Outils. Si vous disposez de panneaux peints, ou de panneaux de faible rendement, la surchauffe est faible, et n'a aucun effet négatif à 130°, le Glycol est stable, et une température de 130° n'est pas en mesure de créer une dégradation des soudures du panneau, les régulations d'entrée de gamme plus, votre système pourra redémarrer en cas de demande dans la journée. Pour ce type d'application, et en particulier pour les poses en toiture, voyez aussi nos panneaux 'paysage' appelés généralement horizontaux, qui limitent la prise au vent et permettent une meilleure intégration visuelle pose en casquette, ou au sol, camouflés par une haie la hauteur d'un tel champ au sol ne dépasse pas 1 mètre. Bien sûr, on compense en longueur. Si les détracteurs du solaire indiquent que l'économie globale sur l'énergie est nettement plus faible en % que dans le cas des chauffe-eau, ils oublient que le chauffage solaire permet d'éviter le démarrage de 'l'appoint' pendant une partie des inter-saisons, et de diminuer son fonctionnement en hiver. Et normalement, un appoint peu utilisée dure plus longtemps. L'allongement de la durée de vie de votre équipement doit aussi entrer dans le calcul du retour sur investissement du chauffage solaire. Pour les habitats en BBC La question dans le BBC est de savoir s'il est utile d'investir dans un système de chauffage. Tant que l'on n'est pas en maison passive, il faut faire quelque chose, la question est quoi. Lorsqu'on a fait le choix qui deviendra de plus en plus systématique du chauffe-eau solaire, on n'est plus forcément très loin du chauffage solaire. Avec une vanne d'inversion et une vanne thermique, 20 à 25 euro de plus sur la régulation, certainement un panneau de plus, un radiateur dans la salle de bain on a une solution y ajoutant un petit ballon tampon et un autre circulateur, encore 45 euros de plus sur la régulation, voire un radiateur de plus, on arrive à un petit chauffage. Une résistance dans le ballon tampon si l'on a un doute ? Un panneau de plus. Avantage de l'autoconstruction vous pouvez y aller par petites touches. Inconvénient si vous n'habitez pas à proximité les coûts de livraison. Une idée de dimensionnement sauf BBC, voir ci-dessus 1m² de panneau pour 10m² de plancher chauffant, c'est bien, il n'en faut pas plus les derniers panneaux sont ceux qui servent le moins. Donc pour une maison de 100m², 10m² de panneaux pour le chauffage plus 5 m² pour le chauffe-eau, c'est une approche raisonnable que l'on pourra adapter en fonction de son habitation, de sa région, et de son portefeuille. Pour le ballon de stockage dans les régions/cas où l'on ne fait pas du chauffage direct dans le plancher, on part généralement sur 65 à 100l pour 1m² de panneau selon la région. Pour fixer les idées, 100m2 de plancher représentent 7 à 10m3 de capacité thermique d'1 m3 de béton est équivalente à celle de 462 litres d'eau. Pour des calculs plus précis, voyez les onglets 'dimensionnement', un autre moyen de trouver la solution est de nous contacter... _____________________________________________________________________________________________________________________________________ Ci dessous la fin de l'ancienne version que je n'ai pas encore remise en forme. Il y a donc sans doute des redites et il faudra probablement que j'éclate cette page. NDLR 29/01-2018. ;- NB technique, merci à Sylvain Courgeaud qui a pris le temps de rechercher les données et de calculer la valeur - Capacité thermique massique du béton 880 J/kg.°K, pour l'eau 4186 J/kg.°K d'après l'Encyclopedia Universalis, - la masse du béton est de kg/l, d'où la capacité volumique du béton 1936 J/l.°K - en comparant à l'eau 1936/4186= Avec un ballon de 1000 litres, on a donc 3 à 5 fois moins d'inertie, ce qui veut dire qu'on aura tendance à travailler plus chaud, donc avec un rendement un peu plus bas. Mais dans les régions froides, le plancher demandera toujours de l'énergie donc on n'aura pas le temps de monter en température. Et en demi saison, c'est un avantage de ne pas avoir à démarrer la chaudière pour commencer, ça fait plaisir de ne plus contribuer aux Amoco Cadiz et autres Erika, et en plus, la chaudière durera plus longtemps ! Réguler un chauffage Solaire Généralement, la partie solaire est très simple à réguler. Par contre, côté chauffage, on doit généralement gérer une vanne 3 voies, voire plusieurs, et des lois d'eau. Quoiqu'aujourd'hui, les constructions RT2012 tendent à simplifier les techniques de régulation de chauffage, puisque le besoin est réduit, la correction des fluctuations de température est d'autant plus facile. Si vous disposez d'une chaudière à énergie fossile, la meilleure stratégie est d'insérer un système solaire en économiseur d'énergie l'eau revenant du plancher ou des radiateurs retournera directement à la chaudière ou passera par le ballon de stockage sui celui-ci est plus chaud. Si par contre, vous disposer d'une chaudière, d'un poêle bouilleur ou d'une cuisinière bouilleur à bois, le ballon tampon est déjà nécessaire. On chauffera alors le haut du ballon avec la chaudière/poêle/cuisinière et le bas du ballon au solaire. Bientôt plus de schémas à jour, et quelques pages sur les branchements dans les ballons tampon selon les apports et consommateurs. Pour le moment, quelques schémas pas parfaits à l'onglet outils, à noter la solution astucieuse de notre ami installateur Alban permet de fonctionner le plus simplement du monde, au plus froid, avec une régulation de base. Et avec des radiateurs ? En principe, je n'étais pas un fan du coup, lisez ce paragraphe, vous verrez plus bas. Mais les principes ne sont pas forcément tous bons. Le problème, avec des radiateurs, c'est qu'il doivent être plus chauds que le plancher, donc les panneaux solaires thermiques doivent travailler plus haut en température. L'ADEME déconseillait il y a une dizaine d'année ce type de solution, en raison du faible taux de couverture et du coût des installations. Pour le coût, avec nos produits et en auto-installation, cela n'a plus rien à voir. Et quand vous n'êtes pas en phase de construction, pas moyen d'ajouter un plancher chauffant. Donc, une fois posé le fait que le rendement ne sera pas aussi bon qu'avec un plancher, voici nos conseils Prendre des panneaux à revêtement sélectif et les dimensionner comme pour du chauffe-eau solaire, de cette manière, vous utilisez votre ballon tampon là, il en faut obligatoirement un pour stocker l'énergie solaire au maximum. Et si possible utiliser des radiateurs basse température. En demi saison, vous risquez d'avoir un résultat satisfaisant et un démarrage de chaudière décalé dans le temps. Les demandes arrivent, les clients en veulent, ils ont trouvé sur les forums que cela fonctionnait, et sur les forums, on retrouve... nos clients. Probablement ma position de principe n'est donc pas la bonne ! Et pour ma part, j'ai ré-essayé en 2017. J'ai un peu honte de le dire, mais après un problème de voisinage sur la mise en place de panneaux en 2007, et avec le boulot assez prenant, le bois à couper, fendre le week-end, etc, j'ai finalement attendu fin 2016 pour 'revendre' le projet à mon épouse, après avoir choisi l'endroit du terrain où les panneaux se feraient discrets. Comme j'avais déjà une solution économe maison bien isolée en briques monomur, vitrage au sud, VMC double flux, chaudière à granulés et poêle à bois, mon budget chauffage était déjà très réduit. C'est donc surtout mon dos qui va bénéficier de cette installation moins de bois à couper ! Et c'est tout aussi appréciable... En fait, à la demi-saison, c'est très sympa je n'ai mis en fonction au début que les radiateurs, principalement pour les salles de bains. Le résultat a été très apprécié. La configuration a aussi fait que le réseau a fonctionné sans circulateur, par simple thermosiphon, le ballon étant à la cave. La température des radiateurs atteignait sans problème 45° en Octobre, sans appoint et avec une couverture d'ECS à 100%. Elle a logiquement baissé lorsque j'ai mis en service le plancher chauffant de la partie nord de l'habitation. Là encore jusqu'aux premiers froids, la température a tenu jusqu'à 20° dans cette partie orientée nord, en contrebas, pas du tout exposée en hiver mais très agréable et fraîche en été!. Il me reste à trouver le temps d'enregistrer les données et de vous les restituer sous forme de graphique. Mais pour le moment, je m'occupe du poêle bouilleur qui remplace mon poêle à bois et relève donc en partie un vieux poêle bouilleur à granulés. J'ai été un peu 'à la bourre' sur la rénovation de mon installation, mais en ce 8 Janvier, c'est quasiment bouclé. La leçon du paragraphe, que connaissent bien les bricoleurs, mais aussi les pros du bâtiment prévoyez toujours que les délais ont de très fortes chances de déraper... Voyez aussi nos pages avec des outils de dimensionnement, des modules de formation, logiciels de simulation, etc.. Nos régulations vous pouvez aussi aller visiter le site Pour chaque régulation, la fiche technique fournit une liste de configurations possible. Attention, les produits à choisir depuis Août 2015 sont des produits compatible avec les circulateurs haute efficacité aussi appelés MLI -modulation de largeur d'impulsion- ou pwm -pulse wave modulation- obligatoires en Europe. Il s'agit donc principalement de la gamme TRA TRA501T pour un chauffe-eau solaire, TRA502TT et TRA503TTR pour des applications nécessitant de piloter 2 ou 3 équipements.
\n \n\n\n chaudière électrique pour plancher chauffant basse température
Latempérature de retour en entrée de chaudière à condensation, devra être plus faible que la température de rosée des combustibles. Cela permet de maximiser la performance de la condensation et ainsi récupérer la chaleur latente pour optimiser le rendement thermique de la machine. La température de rosée, dépend du type de
Caliwatt MOD de 6 à 36 kw Corps de chauffe cylindrique en cuivre Nouvelle chaudière électrique avec une meilleure modulation et un meilleur rendement Départ de circuit de chauffage entre 20°C et 85°C Dispose d'un bon équipement électronique et hydraulique Dispose de 6 plages de puissances Garantie 5 ans sur le corps de chauffe Cuivre Détails
TRdHN.
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